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Ronald Reagan: « America’s best days are yet to come»

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« Governeur, vous n’êtes pas Thomas Jefferson ».  C’est ainsi que s’adressait Ronald Reagan à une audience conquise sous un tonnerre d’applaudissement lors de la convention républicaine de 1992 en parlant de Bill Clinton :

“All right, all right. But listen to me: This fellow they’ve nominated claims he’s the new Thomas Jefferson. Well, let me tell you something. I knew Thomas Jefferson. He … he … he was a friend of mine. And governor, you’re no Thomas Jefferson.

“Well I’ve said it before and I’ll say it again — America’s best days are yet to come. (Cheering) Our … our … our, our proudest moments are yet to be. Our most glorious achievements are just ahead. America remains what Emerson called her 150 years ago, “the country of tomorrow.” What a wonderful description and how true. And yet tomorrow might never have happened had we lacked the courage in the 1980s to chart a course of strength and honor. (Cheering)

Comme quoi un peu d’humour en politique ne nuit pas. Bien sûr, à cette occasion, Ronald Reagan n’avait plus rien à chercher ni à prouver. Mais il se présente tel qu’il est : joyeux et hyperoptimiste. Ce qui plaisait beaucoup aux Américains ?

Toutefois, le deuxième paragraphe de son discours cité ci-dessus montre que sa vision de l’avenir n’était pas vraiment la bonne. Après l’explosion de la bulle Internet, les guerres en Irak et en Afghanistan, et surtout la crise d’abord financière puis économique, les Etats-Unis montrent clairement des signes de fatigue. Et c’est dans ce climat tendu que se déroulent les élections de novembre prochain.

Pour lire le texte du discours de Ronald Reagan

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