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James Baker : « Sans le dollar, nous serions comme la Grèce »

White House Chief of Staff (directeur de Cabinet) et Secretary of Treasury (Secrétaire au Trésor) de Ronald Reagan et Secretary of State (Ministre des Affaires étrangères) de George H. W. Bush, James Baker peut être classé dans la catégorie des Républicains pragmatiques ou réalistes. Lors d’une conférence en octobre dernier (juste après le 3e débat) au Think Tank Wilson Center, il en appelle au sérieux et à l’esprit de collaboration.

Dans la négociation qu’il espère voir s’engager à propos de la bombe à retardement que constitue la « Fiscal Cliff », James Baker énonce 6 principes pour qu’elle s’engage efficacement :

1. Well, first of all, you need to have a plan that is realistic. Okay? The idea, for instance, that we’re going to solve our budgetary problems simply by raising taxes on the affluent is of course a total fantasy.

2. Any plan should strike a pro-growth balance between revenue increases and spending.

3. Any plan must include upfront expenditure cuts.

4. Any plan should have an expenditure cap.

5. This is really important — any plan should ensure, should include, an enforcement mechanism.

6. Any effort to raise revenue should focus on broadening the tax base rather than raising marginal rates.

Répondant à quelques questions, son jugement sur la situation actuelle des Etats-Unis est sans appel : « If we didn’t have the dollar, we’d be Greece ».

 

Transcription de la conference de James Baker

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