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Les discours inauguraux de quatre présidents des Etats-Unis Georges Washington, Thomas Jefferson, Franklin Roosevelt et John Kennedy

C’est une tradition depuis Georges Washington, tous les présidents élus en prêtant serment donne un discours. Selon Larry Sabato, peu de ces discours sont mémorables. Pour le  professeur de politique de l’Université de Virginie, quatre discours ont marqué l’histoire : Washington pour son second mandat, Jefferson pour son premier, Franklin Roosevelt pour son premier et John Kennedy.

Ci-dessous les quatre discours en français (traduction assurée par le logiciel Systran et publiée sous leur forme brute) et le lien vers les discours d’investiture de l’ensemble des présidents.

Pour accéder à tous les discours inauguraux

Georges Washington, 4 mars 1793

Concitoyens :

washingtonJe suis de nouveau invité par la voix de mon pays pour exécuter les fonctions de son magistrat en chef. Quand l’occasion appropriée pour elle arrivera, j’essayerai d’exprimer le sens élevé que j’amuse de cet honneur distingué, et de la confiance qui a été reposée dans moi par le peuple de l’Amérique unie

Précédent à l’exécution de n’importe quel acte officiel du président la constitution exige un serment d’entrée en fonction. Ce serment je dois maintenant environ prendre, et en votre présence : Que si on le trouvera pendant mon administration du gouvernement que j’ai dans n’importe quel exemple violé volontairement ou sciemment les injonctions en, je peut (sans compter qu’encourir la punition constitutionnelle) soit sujet aux upbraidings de tous ce qui sont maintenant des témoins de la cérémonie solennelle.

Jefferson, 4 mars 1801

Amis et compatriotes :

jeffersonInvité à entreprendre les fonctions du premier bureau exécutif de notre pays, je me sers de la présence de cette partie de mes compatriotes qui est ici rassemblée pour exprimer mes mercis reconnaissants de la faveur avec laquelle ils ont été heureux pour regarder vers moi, pour déclarer une conscience sincère que la tâche est au-dessus de mes talents, et que je l’approche avec ces pressentiments impatients et terribles que la grandeur de la charge et la faiblesse de mes puissances inspirent tellement juste. Une nation de montée, a réparti une terre large et fructueuse, traversant toutes les mers avec les productions riches de leur industrie, occupées dans le commerce avec les nations qui sentent la puissance et oublient bien, avançant rapidement aux destins au delà de la portée du mortel oeil-quand je contemple ces objets transcendants, et voit l’honneur, le bonheur, et les espoirs de ce pays aimé commis à la question, et aux auspices de ce jour, je se rétrécissent de la contemplation, et s’humilient avant l’importance de l’entreprise. Tout à fait, en effet, le désespoir d’I ne fait pas la présence de beaucoup que je vois ici me rappeler cela dans les autres Hautes Autorités fournies par notre constitution que je trouverai des ressources de la sagesse, de la vertu, et de l’ardeur sur laquelle à compter sous toutes les difficultés. À vous, puis, les messieurs, qui sont chargés des fonctions souveraines de la législation, et à ceux se sont associés à vous, je regarde avec l’encouragement pour ces conseils et soutiens qui peuvent nous permettre d’orienter avec la sûreté le navire en lequel nous tous sommes embarqués parmi les éléments contradictoires d’un monde préoccupé.

Pendant le concours de l’opinion par lequel nous avons passé l’animation des discussions et des efforts a parfois porté un aspect qui pourrait imposer aux étrangers inutilisés pour penser librement et pour parler et écrire ce qu’ils pensent ; mais le ce maintenant décidé par la voix de la nation, annoncée selon les règles de la constitution, tout, naturellement, s’arrangera sous la volonté de la loi, et unira dans des efforts communs pour le bien commun. Tous, aussi, considéreront ce principe sacré, qui bien que la volonté de la majorité soit dans tous les cas à régner, qui seront légitimes doit être raisonnable ; que la minorité possèdent leur égalité des droits, que la loi égale doit se protéger, et violer être oppression. Nous laisser, puis, des compatriotes, unir à un coeur et à un esprit. Reconstituons aux rapports sociaux qui l’harmonie et l’affection sans lesquelles la liberté et même la vie elle-même sont mais les choses mornes. Et nous laisser reflètent que, après avoir banni de notre terre que l’intolérance religieuse sous laquelle l’humanité a tellement longtemps saigné et a souffert, nous ont encore gagné peu si nous encourageons une intolérance politique aussi despotique, aussi mauvais, et capable de en tant que persécutions amères et sanglantes. Pendant les angoisses et les convulsions du monde antique, pendant les spasmes atroces de l’homme fâché, en cherchant par le sang et abattre sa liberté perdue de vue depuis longtemps, il n’était pas merveilleux que l’agitation des lames devrait atteindre rivage même ce éloigné et paisible ; que ceci devrait être plus se sont sentis et ont craint par quelque et moins par d’autres, et devraient diviser des avis quant aux mesures de sûreté. Mais chaque divergence de vues n’est pas une différence de principe. Nous avons appelé par différents frères de noms du même principe. Nous sommes tous les républicains, nous sommes tous les fédéralistes. S’il y en ait parmi nous qui souhaiteraient dissoudre cette union ou changer sa forme républicaine, les laisser se tenir calmes comme monuments de la sûreté avec laquelle l’erreur de l’opinion peut être tolérée où la raison est laissée libre pour la combattre. Je sais, en effet, que quelques hommes honnêtes craignent qu’un gouvernement républicain ne puisse pas être fort, que ce gouvernement n’est pas assez fort ; est-ce que mais le patriote honnête, dans la pleine marée de l’expérience réussie, abandonnerait un gouvernement qui a jusqu’ici gardé nous librement et la société sur la crainte théorétique et visionnaire que ce gouvernement, le meilleur espoir du monde, peut par la possibilité vouloir que l’énergie se préserve ? Je fais confiance pas. Je crois ceci, au contraire, le gouvernement le plus fort sur terre. Je la crois le seul où chaque homme, à l’appel de la loi, volerait au niveau de la loi, et rencontrerais des invasions de l’ordre public en tant que son propre souci personnel. Parfois on lui dit que l’homme ne peut pas être fait confiance pour le gouvernement de se. Peut-il, puis, être fait confiance pour le gouvernement de d’autres ? Ou avons-nous trouvé des anges sous les formes de rois pour le régir ? Laisser la réponse d’histoire cette question.

Nous laisser, puis, avec le courage et la confiance poursuivre nos propres principes fédéraux et républicains, notre attachement à l’union et gouvernement de représentant. Avec bonté séparé par la nature et un océan large du ravage de extermination d’un quart du globe ; trop à l’âme noble pour supporter les dégradations des autres ; possédant un pays choisi, avec assez la pièce pour nos descendants à la millième et millième génération ; amusant un sens dû de notre juste d’égale à l’utilisation de nos propres corps enseignant, aux acquisitions de notre propre industrie, d’honorer et de confiance de nos compatriotes, résultant pas de la naissance, mais de nos actions et de leur sens de eux ; éclairé par une religion bénigne, professé, en effet, et pratiqué dans diverses formes, pourtant tous inculquant l’honnêteté, vérité, modération, gratitude, et amour de l’homme ; est-ce que reconnaissant et adorant un Providence outrepassant, qui par toutes ses dispenses montre qu’elle enchante dans le bonheur de l’homme ici et son plus grand bonheur ci-après-avec toutes ces bénédictions, que plus est nécessaire de nous faire un peuple heureux et prospère ? Une chose davantage, camarade-citoyens-un sages et gouvernement toujours économe, qui retiendront des hommes de blesser un un autre, les laisseront autrement libres pour régler leurs propres poursuites d’industrie et d’amélioration, et ne prendront pas de la bouche du travail le pain qu’elle a gagné. C’est la somme du bon gouvernement, et c’est nécessaire pour fermer le cercle de nos félicités.

Au sujet de pour entrer, des compatriotes, sur l’exercice des fonctions qui comprennent tout cher et objet de valeur à vous, il est approprié vous devrait comprendre ce que je considère les principes essentiels de notre gouvernement, et par conséquent ceux qui doivent former son administration. Je les comprimerai dans la boussole la plus étroite qu’ils soutiendront, énonçant le principe général, mais non tous ses limitations. Justice égale et exacte à tous les hommes, de quelqu’état ou persuasion, religieux ou politique ; paix, commerce, et amitié honnête avec toutes les nations, empêtrant des alliances avec aucun ; l’appui des gouvernements nationaux dans toutes leurs droites, comme administrations les plus compétentes pour nos soucis domestiques et remparts les plus sûrs contre des tendances antirepublican ; la conservation des administrations publiques dans sa vigueur constitutionnelle entière, comme ancre de feuille de notre paix à la maison et de sûreté à l’étranger ; un soin jaloux de la droite de l’élection par le correctif doux et sûr de personnes-un des abus qui sont taillés par l’épée de la révolution où les remèdes pacifiques sont unprovided ; consentement absolu dans les décisions de la majorité, le principe essentiel des républiques, desquelles n’est aucun appel mais pour forcer, le principe essentiel et le parent immédiat du despotisme ; une milice bien disciplinée, notre meilleure confiance dans la paix et pour les premiers instants de la guerre, jusqu’à ce que les militaires de carrière puissent les soulager ; la suprématie du civil au-dessus de l’autorité militaire ; l’économie dans les dépenses publiques, ce travail peut légèrement burthened ; le paiement honnête de nos dettes et conservation sacrée de la foi publique ; encouragement d’agriculture, et de commerce en tant que son handmaid ; la diffusion d’information et lecture de l’acte d’accusation de tous les abus à la barre de la raison publique ; liberté religieuse ; liberté de la presse, et liberté de personne sous la protection du Habeas Corpus, et de l’épreuve par des jurys avec impartialité choisis. Ces principes forment la constellation lumineuse qui est allée avant nous et a guidé nos étapes par un âge de révolution et de réforme. La sagesse de nos sauges et le sang de nos héros ont été consacrés à leur accomplissement. Ils devraient être la foi de notre foi politique, le texte de l’instruction civique, la pierre de touche par laquelle pour essayer les services de ceux nous faisons confiance ; et devrions-nous errer de eux en moments d’erreur ou d’alarme, nous laisser s’empressent de retracer nos étapes et de regagner la route que seul mène à la paix, à la liberté, et à la sûreté.

Je répare, puis, des compatriotes, au poteau que vous m’avez affecté. Avec assez l’expérience des bureaux subalternes avoir vu les difficultés de ceci le plus grand de tous, j’ai appris à compter qu’il incombera rarement au sort de l’homme imparfait de se retirer de cette station avec la réputation et la faveur qui l’introduisent dans elle. Sans prétensions à cette confiance élevée vous avez reposé dans notre première et le plus grand caractère révolutionnaire, dont les services prépondérants l’avaient eu droit au premier endroit dans l’amour de son pays et destiné pour lui la page la plus juste en volume d’histoire fidèle, je demande tellement la confiance seulement comme peut donner la fermeté et la suite à l’administration légale de vos affaires. Je passerai souvent mal par le défaut du jugement. Quand droit, ceux penseront mal me souvent dont les positions ne commanderont pas une vue de la terre entière. Je demande votre indulgence mes propres erreurs, qui ne seront jamais intentionnelles, et votre appui contre les erreurs de d’autres, qui peuvent condamner ce qu’elles pas si vu dans toutes ses pièces. L’approbation implicite par votre suffrage est une grande consolation à moi pour le passé, et mon futur solicitude sera de maintenir la bonne opinion de ceux qui l’ont accordée à l’avance, pour concilier cela de d’autres en les faisant tout le bon dans ma puissance, et pour être instrumental au bonheur et à la liberté de tous.

Comptant, puis, sur le patronage de votre bonne volonté, j’avance avec l’obéissance au travail, prêt à se retirer de lui toutes les fois que vous devenez sensible combien meilleur choix ce coûte dans votre puissance de faire. Et peut cette puissance infinie qui ordonne les destins du fil d’univers nos conseils à ce qui est le meilleur, et leur donne une issue favorable pour votre paix et prospérité.

Franklin Roosevelt, 4 mars 1933

rooseveltJe suis certain que compter my fellow Americans que sur mon induction dans la présidence je les adresserai avec une franchise et une décision que la situation actuelle de notre nation pousse. C’est prépondérant l’heure de parler la vérité, toute la vérité, franchement et hardiment. Ni le besoin que nous nous rétrécissons de faire face honnêtement à des conditions dans notre pays aujourd’hui. Cette grande nation supportera comme elle a supporté, rétablira et prospérera. Ainsi, tout d’abord, me laisser affirment ma croyance ferme que la seule chose que nous devons craindre est crainte soi-même-inconnue, la terreur unreasoning et injustifiée qui paralyse des efforts nécessaires de convertir la retraite en avance. En chaque heure foncée de notre vie nationale une conduite de franchise et de vigueur a reçu ces arrangement et appui des personnes eux-mêmes qui sont essentielles à la victoire. Je suis convaincu que vous donnerez encore cet appui à la conduite en ces jours critiques.

Dans un tel esprit sur ma partie et sur le vôtre nous faisons face à nos difficultés communes. Ils concernent, remercient Dieu, seulement choses matérielles. Les valeurs se sont rétrécies aux niveaux fantastiques ; les impôts ont monté ; notre capacité de payer est tombée ; le gouvernement de toutes les sortes est fait face par la terminaison sérieuse du revenu ; les moyens de l’échange sont gelés dans les courants du commerce ; les feuilles défraîchies de l’entreprise industrielle se trouvent de chaque côté ; les fermiers ne trouvent aucun débouché pour leur produit ; l’épargne de beaucoup d’années dans les milliers de familles est allée.

Plus important, une foule de citoyens sans emploi font face au problème sinistre de l’existence, et à un travail dur également grand de nombre avec peu de retour. Seulement un opportuniste idiot peut nier les réalités foncées du moment.

Pourtant notre détresse vient d’aucun échec de substance. Nous sommes frappés par aucune peste des sauterelles. Comparé aux périls que nos ancêtres ont conquis parce qu’ils ont cru et n’avaient pas peur, nous avons encore beaucoup à être reconnaissant pour. La nature lui offre toujours la générosité et les efforts humains l’ont multipliée. L’abondance est à notre seuil, mais une utilisation généreuse de elle languit dans même la vue de l’approvisionnement. Principalement c’est parce que les règles de l’échange des marchandises de l’humanité ont échoué, par leur propre obstination et leur propre incompétence, ont admis leur échec, et ont abdiqué. Les pratiques des commutateurs d’argent sans scrupules se tiennent accusées dans la cour de l’opinion publique, rejetée par les coeurs et les esprits des hommes.

Vrai elles ont essayé, mais leurs efforts ont été moulés dans le modèle d’une tradition usée. Fait face par échec de crédit ils ont proposé seulement le prêt de plus d’argent. Dépouillé de l’attrait du bénéfice par lequel pour inciter nos personnes à suivre leur conduite fausse, elles ont recouru aux exhortations, parlant en faveur tearfully de la confiance reconstituée. Ils savent seulement les règles d’une génération des égoïstes. Ils n’ont aucune vision, et quand il n’y a aucune vision les personnes périssent.

Les commutateurs d’argent se sont sauvés de leurs sièges élevés dans le temple de notre civilisation. Nous pouvons maintenant reconstituer ce temple aux vérités antiques. La mesure de la restauration se situe dans le point auquel nous nous appliquons des valeurs sociales plus nobles que le seul bénéfice monétaire.

Le bonheur se situe pas dans la seule possession de l’argent ; il se situe dans la joie de l’accomplissement, dans le tressaillement de l’effort créateur. La joie et la stimulation morale du travail plus doivent n’être oubliées dans la chasse folle des bénéfices évanescents. Ces jours sombres vaudront tous qu’ils nous coûtent s’ils nous enseignent que notre destin vrai ne doit pas être administré mais pour administrer nous-mêmes et à nos prochains.

L’identification de la fausseté de la richesse matérielle comme niveau de succès est de pair assortie à l’abandon de la croyance fausse que le bureau de l’administration publique et la position politique élevée doivent être évalués seulement par les normes de la fierté de l’endroit et du bénéfice personnel ; et il doit y a une extrémité à une conduite dans les opérations bancaires et dans les affaires qui trop souvent ont donné à une confiance sacrée la similarité de l’injustice dure et égoïste. La petite merveille que la confiance languit, parce que elle prospère seulement de l’honnêteté, sur l’honneur, sur le caractère sacré des engagements, sur la protection fidèle, sur l’exécution altruiste ; sans elle elle ne peut pas vivre.

La restauration réclame, cependant, pas des changements de l’éthique seule. Cette nation demande l’action, et l’action maintenant.

Notre plus grande tâche primaire est de mettre des personnes pour travailler. Ce n’est aucun problème insoluble si nous lui faisons face sagement et courageusement. Il peut être accompli en partie par le recrutement direct par le gouvernement lui-même, traitant la tâche car nous traiterions l’urgence d’une guerre, mais en même temps, par cet emploi, accomplissant considérablement des projets nécessaires pour stimuler et réorganiser l’utilisation de nos ressources naturelles.

de pair avec ceci nous devons franchement identifier le surpasser de la population à nos centres industriels et, en s’engageant sur une échelle nationale dans une redistribution, essayer de fournir une meilleure utilisation de la terre pour des ces meilleur adapté pour la terre. La tâche peut être aidée par des efforts définis de soulever les valeurs des produits agricoles et avec ceci la puissance d’acheter le rendement de nos villes. Elle peut être aidée en empêchant normalement la tragédie de la perte croissante par la forclusion de nos petites maisons et de nos fermes. Elle peut être aidée par l’insistance qui le fédéral, l’état, et l’acte de gouvernements locaux immédiatement sur la demande que leur coût soit rigoureusement réduit. Elle peut être aidée par l’unification des activités humanitaires qui sont aujourd’hui souvent dispersées, peu économique, et inégal. Elle peut être aidée par la planification nationale pour et la surveillance de toutes les formes de transport et de communications et d’autres utilités qui ont un caractère certainement public. Il y a beaucoup de manières dont il peut être aidé, mais il peut jamais ne simplement être aidé en parlant de lui. Nous devons agir et agir rapidement.

En conclusion, dans notre progrès vers une reprise de travail nous avons besoin de deux sauvegardes contre un retour des maux du vieil ordre ; il doit y a une surveillance stricte de tous les opérations bancaires et crédits et investissements ; il doit y a une extrémité à la spéculation avec de l’argent d’autres personnes, et il doit y avoir disposition pour une monnaie proportionnée mais saine.

Il y a les lignes de l’attaque. Je recommanderai actuellement sur un nouveau congrès dans des mesures détaillées de session spéciale pour leur réalisation, et je chercherai l’aide immédiate des multiples états.

Par ce programme d’action nous nous adressons à mettre notre propre maison nationale dans l’ordre et à faire l’outgo de balance des revenus. Nos relations de commerce international, bien qu’énormément important, sont au moment et la nécessité secondaires à l’établissement d’une économie nationale saine. Je favorise comme politique pratique la mise des premières choses d’abord. Je ne ferai tout le possible aucun de reconstituer le commerce mondial par le rajustement économique international, mais l’urgence à la maison ne peut pas attendre sur cet accomplissement.

La pensée de base qui guide ces moyens spécifiques de rétablissement national n’est pas étroitement nationaliste. C’est l’insistance, comme une première considération, sur l’interdépendance des divers éléments dans toutes les parties de l’identification unie d’États-un de la vieille et de manière permanente importante manifestation de l’esprit américain du pionnier. C’est la manière au rétablissement. C’est la manière immédiate. C’est l’assurance la plus forte que le rétablissement supportera.

Dans le domaine de la politique du monde je consacrerais cette nation à la politique du bon voisin de voisin-le qui résolument se respecte et, parce qu’il fait ainsi, respecte les droites d’autres-le voisins dans qui respecte ses engagements et respecte la sainteté de ses accords et avec un monde des voisins.

Si je lis le trempe de nos personnes correctement, nous réalisons maintenant comme nous n’avons jamais réalisé avant notre interdépendance sur l’un l’autre ; que nous ne pouvons pas simplement prendre mais nous doit donner aussi bien ; que si nous devons aller en avant, nous devons nous déplacer en tant qu’armée qualifiée et fidèle voulant sacrifier pour le bien d’une discipline commune, parce que sans une telle discipline aucun progrès n’est accompli, aucune conduite entre en vigueur. Nous sommes, je savons, prêt et voulant à soumettre les nos vies et propriété à une telle discipline, parce qu’elle rend une conduite possible qui vise un plus grand bon. Ceci que je propose d’offrir, mettant en gage que les buts plus grands lieront sur nous tous comme engagement sacré avec une unité du devoir jusqu’ici évoquée seulement en temps de différends armés.

Cet engagement étant pris, j’assume sans aucune hésitation la conduite de cette grande armée de nos personnes consacrées à une attaque disciplinée sur nos problèmes communs.

L’action dans cette image et est à cet effet faisable sous la forme de gouvernement de la laquelle nous avons héritée de nos ancêtres. Notre constitution est si simple et pratique qu’il est possible toujours de répondre aux besoins extraordinaires par des changements d’emphase et d’arrangement sans perte de forme essentielle. C’est pourquoi notre système constitutionnel s’est prouvé que le plus superbement la résistance du mécanisme politique que le monde moderne a produit. Il a rencontré chaque effort de vaste expansion de territoire, des guerres étrangères, des différends internes amers, des relations du monde.

Il doit être espéré que l’équilibre normal de l’autorité exécutive et législative puisse être complètement proportionné pour faire face à la tâche sans précédent avant nous. Mais il se peut qu’une demande et un besoin sans précédent d’action sans retard puissent réclamer le départ provisoire à cet équilibre normal de procédé public.

Je suis disposé sous mon devoir constitutionnel à recommander les mesures qu’une nation en détresse au milieu d’un monde en détresse peut exiger. Ces mesures, ou des autres mesures telles que le congrès peuvent construire hors de son expérience et sagesse, je chercherai, dans mon autorité constitutionnelle, pour apporter à l’adoption prompte.

Mais au cas où le congrès ne prendra pas un de ces deux cours, et au cas où le secours national serait encore critique, je n’éluderai pas le cours clair du devoir qui me confrontera alors. Je demanderai au congrès l’un instrument restant de rencontrer le crise-large pouvoir exécutif de faire une guerre contre l’urgence, aussi grand que la puissance qui me serait donnée si nous en fait étions envahis par un ennemi étranger.

Pour la confiance reposée dans moi je renverrai le courage et la dévotion qui conviennent au temps. Je peux faire aucun moins.

Nous faisons face aux jours laborieux qui se trouvent devant nous dans le courage chaud de l’unité nationale ; avec la conscience claire de vieilles et précieuses valeurs morales de recherche ; avec la satisfaction propre qui vient de l’exécution sévère du devoir par vieux et jeune semblable. Nous visons l’assurance d’une vie nationale arrondie et permanente.

Nous ne méfions pas du futur de la démocratie essentielle. Le peuple des Etats-Unis n’a pas échoué. Dans leur besoin il a enregistré un mandat qu’ils veulent l’action directe et vigoureuse. Ils ont demandé la discipline et la direction sous la conduite. Ils m’ont fait l’instrument de leurs souhaits. Dans l’esprit du cadeau je le prends.

Dans cet attachement d’une nation nous demandons humblement la bénédiction de Dieu. Peut il protéger chacun de nous. Peut il me guider en jours pour venir.

John Kennedy, 20 janvier 1961

kennedyVice-président Johnson, M. Speaker, M. juge en chef, le Président Eisenhower, vice-président Nixon, le Président Truman, clergé de révérend, concitoyens, nous observons aujourd’hui pas une victoire de partie, mais une célébration de liberté-symboliser une extrémité, aussi bien qu’un renouvellement de commencement-signification, aussi bien que le changement. Pour moi ai juré avant vous et Dieu tout-puissant que le même serment solennel notre s’abstient prescrit presque un siècle et trois quarts il y a.

Le monde est très différent maintenant. Pour l’homme tient dans des ses mains de mortel la puissance de supprimer toutes les formes de pauvreté humaine et toutes les formes de vie humaine. Mais la même croyance révolutionnaire pour laquelle notre s’abstient combattu sont toujours à l’issue autour de la croyance de globe-le que les droites de l’homme viennent pas de la générosité de l’état, mais de la main de Dieu.

Nous osons ne pas oublier aujourd’hui que nous sommes les héritiers de cette première révolution. Laisser le mot aller en avant de ces temps et endroit, à l’ami et à l’ennemi de même, que la torche a été passée à une nouvelle génération d’Américain-né en ce siècle, gâchée par la guerre, disciplinée par une paix dure et amère, fier de notre antique héritage-et peu disposé à être témoin ou permettre du démantèlement lent de ces droits de l’homme auxquels cette nation a été toujours investie, et dans ce que nous sommes commis aujourd’hui à la maison et autour du monde.

Faire chaque nation connaître, si elle nous souhaite bons ou malades, que nous payions n’importe quel prix, soutenions n’importe quel fardeau, rencontrions n’importe quelles difficultés, soutenions n’importe quel ami, nous opposions à n’importe quel ennemi, afin d’assurer la survie et le succès de la liberté.

Ce beaucoup nous engagement-et plus.

À ces vieux alliés dont les origines culturelles et spirituelles que nous partageons, nous mettent en gage la fidélité des amis fidèles. Uni, il y a peu que nous ne pouvons pas faire dans une foule d’entreprises coopératives. Divisé, il y a peu que nous pouvons faire-pour nous osons ne pas relever un défi puissant en désaccord et fendu en morceaux.

À ces nouveaux états à qui nous faisons bon accueil aux grades du libre, nous mettons en gage notre mot qu’une forme de commande coloniale n’aura pas disparu simplement pour être remplacé par bien plus de tyrannie de fer. Nous ne compterons pas toujours les trouver soutenir notre vue. Mais nous espérerons toujours les trouver soutenir fortement leurs propres liberté-et se rappeler que, dans le passé, ceux qui ont bêtement cherché la puissance en montant le dos du tigre ont fini vers le haut à l’intérieur.

À ces peuples dans les huttes et à villages à travers le globe luttant pour casser les liens de la misère de masse, nous mettons en gage nos meilleurs efforts de les aider pour s’aider, parce que quelque période soit exigée-non parce que les communistes peuvent le faire, pas parce que nous cherchons leurs voix, mais parce qu’il est exact. Si une société libre ne peut pas aider les nombreux qui sont pauvres, elle ne peut pas épargner les peu qui sont riches.

À nos sud de républiques de soeur de notre frontière, nous offrons à un special engagement-au converti nos bons mots dans bon contrat-dans une nouvelle alliance pour progresser-aux hommes libres d’aide et les gouvernements libres dans le moulage outre des chaînes de la pauvreté. Mais cette révolution paisible d’espoir ne peut pas devenir la proie des puissances hostiles. Faire tous nos voisins savoir que nous nous joindrons à eux pour nous opposer à l’agression ou à la subversion n’importe où en Amériques. Et laisser chaque autre puissance savent que cet hémisphère prévoit pour demeurer le maître de sa propre maison.

À ce monde des États souverains, les Nations Unies, notre dernier meilleur espoir dans un âge où les instruments de la guerre ont loin dépassé les instruments de la paix, nous remplaçons notre engagement de soutenir-à l’empêchons de devenir simplement un forum pour injure-à renforçons son bouclier du nouveau et faible-et pour élargir le secteur dans lequel son acte judiciaire peut fonctionner.

En conclusion, à ces nations qui se feraient notre adversaire, nous offrons pas un engagement mais une demande : que les deux côtés commencent à nouveau la recherche pour la paix, avant les puissances foncées de la destruction lâchées par la science engloutir toute l’humanité dans l’autodestruction prévue ou accidentelle.

Nous osons ne pas les tenter avec la faiblesse. Pour seulement quand nos bras sont suffisants au delà du doute pouvons nous être certains au delà du doute qu’ils ne seront jamais utilisés.

Mais ni l’un ni l’autre ne peuvent deux grands et les groupes puissants de nations prennent à confort de notre présent cours-les deux côtés surchargés par le coût d’armes modernes, toutes les deux correctement alarmées par la diffusion régulière de l’atome mortel, pourtant toutes les deux qui emballent pour changer cet équilibre incertain de la terreur qui reste la main de la guerre finale de l’humanité.

Nous laisser ainsi commencent à nouveau-à se rappeler des deux côtés que la civilité n’est pas un signe de faiblesse, et la sincérité est sujette toujours à la preuve. Jamais négocions hors de la crainte. Mais nous laisser ne craignent jamais de négocier.

Laisser les deux côtés explorer quels problèmes nous unissent au lieu d’attaquer ces problèmes qui nous divisent.

Laisser les deux côtés, pour la première fois, formulent des propositions sérieuses et précises pour l’inspection et la commande de bras-et apportent le pouvoir absolu de détruire d’autres nations sous la commande absolue de toutes les nations.

Laisser les deux côtés chercher à appeler les merveilles de la science au lieu de ses terreurs. Nous laisser ensemble explorent les étoiles, conquièrent les déserts, suppriment la maladie, tapent les profondeurs d’océan, et encouragent les arts et le commerce.

Laisser les deux côtés unir à l’attention dans tous les coins de la terre que la commande de Isaïe-à « défont les fardeaux lourds… et pour laisser opprimé pour aller librement. »

Et si une tête de pont de coopération peut repousser la jungle du soupçon, laisser les deux côtés s’associer à créer un nouvel effort, pas un nouvel équilibre des forces, mais un nouveau monde de loi, où les forts sont juste et le faible fixent et la paix préservée.

Tout ceci ne sera pas fini en 100 premiers jours. Ni il sera fini en 1.000 premiers jours, ni dans la vie de cette administration, ni même peut-être dans notre vie sur cette planète. Mais nous laisser commencent.

Dans des vos mains, mes concitoyens, plus que dans le mien, reposeront le succès ou l’échec final de notre cours. Depuis que ce pays a été fondé, chaque génération des Américains a été appelée pour donner le témoignage à sa fidélité nationale. Les tombes des jeunes Américains qui ont répondu à l’appel à la bordure de service le globe.

Maintenant la trompette nous appelle again-not comme appel aux bras d’ours, bien que des bras que nous avons besoin ; pas comme appel à la bataille, bien que rompu aux conflits à nous être-mais à un appel pour soutenir le fardeau d’une longues lutte, année dedans et année crépusculaires dehors, « se réjouissant dans l’espoir, patient dans la tribulation » – une lutte contre les ennemis communs de l’homme : tyrannie, pauvreté, maladie, et guerre elle-même.

Pouvons-nous forger contre ces ennemis une alliance grande et globale, du nord et les sud, l’est et l’ouest, qui peuvent assurer une vie plus fructueuse pour toute l’humanité ? Vous associerez-vous à cet effort historique ?

Dans la longue histoire du monde, seulement on a accordé quelques générations le rôle de la liberté de défense en son heure du danger maximum. Je ne la rétrécis pas de cette bienvenue de responsabilité-Je. Je ne crois pas que l’un d’entre nous échangerait des endroits avec n’importe quelles autres personnes ou n’importe quelle autre génération. L’énergie, la foi, la dévotion que nous apportons à cet effort allumera notre pays et tous ce qui servent -et la lueur de ce feu peut vraiment allumer le monde.

Et ainsi, my fellow Americans : demander pas pour ce que votre pays peut faire vous-demandent ce que vous pouvez faire pour votre pays.

Mes concitoyens du monde : demander pas ce que l’Amérique fera pour vous, mais ce qu’ensemble nous pouvons faire pour la liberté de l’homme.

En conclusion, si vous êtes des citoyens de l’Amérique ou des citoyens du monde, demander de nous les mêmes niveaux élevés de la force et sacrifier ce que nous demandons de vous. Avec une bonne conscience notre seulement récompense sûre, avec l’histoire le juge final de nos contrats, nous a laissés vont en avant mener la terre que nous aimons, demandant sa bénédiction et le sien aide, mais sachant qu’ici sur Dieu de terre le travail doit vraiment être notre propre.


2 Comments

  • MAHE
    Posted 8 octobre 2011 at 8h53

    La traduction est inutile si elle est fait par un logiciel, on ne comprend rien. C’est dommage.
    Autant les publier en VO

    • Post Author
      ghervier
      Posted 9 octobre 2011 at 15h54

      Je ne suis pas d’accord avec ce que vous dites.
      Pour ceux qui ne comprennent un mot d’anglais, je pense que ce type de traduction donne une certaine idée.

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