Ils étaient les meilleurs amis du monde. Après la première tentative d’assassinat de Donald Trump, Elon Musk a eu la révélation et à peser de tout son poids ou plutôt son portefeuille pour faire élire sa nouvelle idole en mettant près de 300 M$ pour financer sa campagne. Une fois élu, Donald Trump a renvoyé l’ascenseur en nommant Elon à la tête de son fameux DOGE avec comme objectif de détecter le « Waste, Fraud and Abuse ». Du coup, le patron de Tesla et SpaceX transformé en homme politique a envoyé ses sbires dans les différents agences et ministères pour effectuer des coupes sombres, à la tronçonneuse comme il s’en était félicité, virer des milliers de fonctionnaires et aspirer des tombereaux de données personnelles sur les citoyens américains.
Le DOGE n’étant pas un Department à proprement parlé, et Elon Musk n’ayant pas été confirmé par le Sénat, son rôle ne pouvait pas durer éternellement. Et de toutes façons, comme il était prévisible, les deux partenaires se sont fâchés avant. Ci-dessous les échanges de gracieusetés entre les deux personnages :
ELON (February 7, 2025): “I love @realDonaldTrump as much as a straight man can love another man.”
ELON (June 3, 2025, four days after leaving the Trump regime): “[Trump’s Big Beautiful Bill is a] disgusting abomination” and “shame on those who voted for it” and “In November next year, we fire all politicians who betrayed the American people”
DONALD (June 5, 2025): “You saw a man who was very happy when he stood behind the Oval desk. Even with a black eye. I said, do you want a little makeup? He said, no, I don’t think so. Which is interesting, Elon and I had a great relationship. I don’t know if we will any more.”
ELON (June 5, 2025): “Without me, Trump would have lost the election, Dems would control the House and the Republicans would be 51-49 in the Senate. … Such ingratitude.
DONALD: “Elon was ‘wearing thin,’ I asked him to leave, I took away his EV Mandate that forced everyone to buy Electric Cars that nobody else wanted (that he knew for months I was going to do!), and he just went CRAZY!”
ELON: “Such an obvious lie. So sad. … This bill was never shown to me even once and was passed in the dead of night so fast that almost no one in Congress could even read it!”
ELON (in response to a Musk supporter who calls for Trump to be impeached): “Yes.”
DONALD: “The easiest way to save money in our Budget, Billions and Billions of Dollars, is to terminate Elon’s Governmental Subsidies and Contracts. I was always surprised that Biden didn’t do it!”
ELON: “In light of the President’s statement about cancellation of my government contracts, @SpaceX will begin decommissioning its Dragon spacecraft immediately.”
DONALD: “Elon is suffering from Trump derangement syndrome.”
ELON: “Time to drop the really big bomb: @realDonald Trump is in the Epstein files. That is the real reason they have not been made public. Have a nice day, DJT! … Mark this post for the future. The truth will come out.”
ELON: [Reposts video of Trump partying with Epstein in 1992 with a “hmm” emoji.]
ELON [Posts a poll and asks]: “Is it time to create a new political party in America that actually represents the 80% in the middle?”
ELON: “The Trump tariffs will cause a recession in the second half of this year.”
Mais Elon Musk va peut-être calmer ses ardeurs, car cette fâcherie pourrait lui coûter des milliards de dollars en contrat fédéraux.
Robert Reich, ancien ministre du Travail et de Bill Clinton, pose deux questions au sujet de la fin de cette belle amitié :
1. Does Trump’s anger over Musk’s disloyalty toward him exceed Musk’s delight in disrupting Trump’s signature goals?
2. How much will they destroy each other in the process?
Dans sa lettre du 10 juin, Lori Corbet Mann propose plutôt les questions suivantes (While We Watched Musk and LA, Trump Claimed the Internet ; Executive Order from 6 June quietly transforms the internet into a tool of regime control, building-in immunity for Big Tech) :
- Now that Musk’s on his way out, what’s he doing with all that data DOGE stole?
- Why is Musk building Colossus, the world’s biggest super-computer?
- What part could Grok AI play in all of this?“
Une amitié qui a inspiré une chanson dans le style Quand un vicomte de Maurice Chevalier
🎶 Quand un Narcisse… (Rencontre au Sommet)
Sur l’air de “Quand un vicomte” de Maurice Chevalier
Couplet 1 – (Donald)
Quand un génie stable et blond doré,
Fait son entrée, le monde est charmé.
Moi, j’ai des tours, des foules, des drapeaux,
Des casquettes rouges et des plateaux !
Je suis LE boss, y’a pas photo,
Même Dieu m’envie mes bons mots.
Couplet 2 – (Elon)
Et quand un type qui pense en fusée,
Lance une idée, le monde est scotché.
Moi j’ai des X, des bots, des fusils-laser,
Des Tesla qui tournent sans chauffeur.
Je suis l’oracle du futur,
Et j’achète tout, c’est plus sûr.
Refrain – Ensemble (fausse harmonie)
Mais quand deux Narcisses se croisent un jour,
Ça sent la poudre plus que l’amour.
L’un veut l’univers, l’autre un trône,
Mais chacun veut briller seul au micro,
Et ça finit toujours très très très… moche !
Couplet 3 – (Donald, moqueur)
T’as voulu Twitter, t’en as fait un X,
Trop de hackers, pas assez de flics !
Tu vends des flammes et tu joues au savant,
Mais moi j’vends la haine en prime time.
T’es qu’un geek avec du gel,
Moi j’fais trembler les chancelleries.
Couplet 4 – (Elon, froidement)
Tu veux un mur ? J’te file une fusée,
Y’a plus de place pour ton siècle passé.
Ton QI fond au soleil de Mars,
T’es qu’un vestige de show à Las Vegas.
Moi j’t’ai racheté dans mes rêves,
Avec Dogecoin et quelques glaives.
Refrain – Ensemble (agressif cette fois)
Quand deux Narcisses cherchent un miroir,
Ils finissent par s’y foutre des claques.
Le monde les regarde et soupire bien fort :
“Qu’ils s’envolent tous deux… très très très… loin !”
Pont (sifflé façon Chevalier)
🎶 (sifflé) Pa pa pa… pa pa pa… panique à bord… 🎶
Dernier couplet – Ensemble (fâchés)
Donald tweete : “Elon, loser total !”
Elon répond : “T’es qu’un bouffon tribal.”
La presse jubile, Wall Street tremble,
Et dans le chaos, ils se ressemblent…
Deux Narcisses au bord du gouffre,
Chacun voulant pousser l’autre.
Dernier refrain (chanté par un chœur goguenard)
Quand deux Narcisses font leur numéro,
Y’a pas d’amour, y’a que de l’égo.
Que ce soit en fusée ou en hélico,
Ils tombent toujours de… très très très… haut !
(Rédigé avec l’aide de ChatGPT)