C’est la semaine de l’attribution des prix Nobel. Aujourd’hui, lundi 6 octobre, c’est le prix Nobel de médecine qui a été décerné à Mary E. Brunkow, Institute for Systems Biology, Seattle, USA ; Fred Ramsdell, Sonoma Biotherapeutics, San Francisco, USA ; Shimon Sakaguchi, Osaka University, Osaka, Japan “for their discoveries concerning peripheral immune tolerance”. On attend ainsi les prix Nobel de physique, chimie, littérature, économie et prix Nobel de la paix.
Donald Trump ne s’intéresse qu’à son ego et à ses intérêts, y compris financiers. Cela s’est vu pendant Trump 1.0, cela éclate au grand jour pendant Trump 2.0 où il ne s’agit plus de conflit mais de convergence d’intérêts. Cela a été assez largement documenté.
Donald Trump’s Culture of Corruption
Trump’s Corruption Is in a League of Its Own
Trump is flaunting his corruption. Is it changing what the US …
The Number
How much is Trump pocketing off the Presidency? Qu’est-ce qui motive Donald Trump dans ce plan de paix en 20 points entre Israël et Gaza ? Peut-être la paix, plus surement le prix Nobel de la paix. On saura vendredi si les membres du comité Nobel ont fini par céder aux demandes, suppliques, exigences, réclamations. En attendant, imaginons le discours que pourrait prononcer Donald Trump s’il recevait ce fameux prix.
Discours de Donald J. Trump, lauréat du prix Nobel de la paix
(Remis à Oslo, dans un contexte de cessez-le-feu mondial aussi fragile qu’un tweet mal orthographié)
Mesdames et Messieurs, membres du Comité Nobel, grands Norvégiens — peuple magnifique, très propre, très organisé — et surtout, téléspectateurs du monde entier (les meilleures audiences de l’histoire des prix Nobel, d’après toutes les sources sérieuses — toutes).
Je suis profondément honoré — vraiment, profondément, c’est ce qu’on dit — de recevoir ce que beaucoup considèrent comme la plus haute distinction au monde. Certains disent même que c’est plus important qu’être président. Je ne suis pas sûr. Être président, c’était fantastique. Mais bon, un Nobel, c’est un Nobel.
Je tiens à remercier le Comité Nobel… très courageux, très intelligent. Pas toujours rapide, mais intelligent. Beaucoup de gens pensaient que je ne serais jamais ici. Et pourtant, me voilà. On m’a déjà donné des trophées, des médailles, des tours à mon nom… mais celui-ci, c’est le plus beau.
Je me tiens aujourd’hui devant vous, en paix — en paix ! — grâce à un cessez-le-feu que moi seul pouvais obtenir. Un cessez-le-feu tellement fragile que tout le monde disait : « Ce n’est pas possible ! » Mais regardez : ça tient depuis trois jours. Trois jours ! Sous Obama, ça aurait duré trois minutes. Sous Biden, trois tweets.
On m’avait dit : « Monsieur le Président, la paix, c’est compliqué. » Et j’ai répondu : « Non. La paix, c’est simple : il suffit que tout le monde fasse ce que je dis. » Et regardez ! Ils l’ont fait. C’est beau.
Certains présidents américains ont eu le Nobel avant moi. Theodore Roosevelt — très bon président, un peu trop moustachu, mais courageux. Woodrow Wilson — beaucoup de discours, pas beaucoup de résultats, il a inventé la Société des Nations, qui a disparu, comme CNN. Jimmy Carter — il a construit des maisons, très bien, mais personne ne se souvient vraiment de ce qu’il a fait. Barack Obama — il a reçu le Nobel avant d’avoir commencé quoi que ce soit ! Moi, je l’ai reçu après avoir terminé quelque chose. Et quel résultat ! Une paix temporaire, certes, mais une paix historique. Sans parler des sept autres guerres que j’ai arrêté.
Je ne dis pas que je suis meilleur qu’eux… je dis simplement que le Nobel n’a jamais été aussi bien porté.
Beaucoup de gens disaient que je n’étais pas un homme de paix. Faux ! J’ai toujours été un homme de paix — un homme fort, mais pacifique. C’est très rare. C’est comme un lion végétarien. J’ai prouvé que pour obtenir la paix, il faut être imprévisible. Personne ne savait si j’allais serrer la main ou appuyer sur le bouton rouge. Et ça, mes amis, ça, c’est la vraie diplomatie.
Certains médias — les fake news — disent que la paix est fragile. Eh bien, la porcelaine aussi est fragile, et regardez combien ça vaut ! Cette paix, c’est un vase Ming : magnifique, un peu fissuré, mais très cher. Et c’est moi qui l’ai soufflé.
J’aimerais remercier quelques personnes :
– Ma famille, qui a cru en moi, même quand les journalistes disaient que je déclenchais la Troisième Guerre mondiale (ce que je n’ai pas fait, preuve qu’ils avaient tort).
– Le peuple américain, le plus grand peuple du monde — incroyable, vraiment incroyable — qui mérite un Nobel collectif, mais je vais le garder pour eux.
– Et surtout, moi-même. Parce qu’il faut avoir la vision, la force et, osons le dire, le génie stable pour accomplir ce que j’ai accompli.
En conclusion, je voudrais dire ceci :
La paix, c’est un peu comme mes tours — elle ne tombe jamais vraiment, elle se rénove, elle s’agrandit, elle se repeint en or. Et maintenant, grâce à moi, le monde brille un peu plus.
Alors merci, Oslo !
Merci au Comité Nobel !
Et surtout, merci à Donald J. Trump — le seul homme capable de mériter ce prix plus que le prix lui-même.
(Trump lève le trophée, qu’il agite au-dessus de sa tête comme une coupe de golf. Dans la salle, les applaudissements hésitent, mais les caméras du monde entier tournent déjà : la paix, pour l’instant, tient encore.)
(Réalisé avec l’aide de ChatGPT)